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Accéder au siteTrès divers, les appâts correspondent à tout ce qui entre habituellement dans l’alimentation de la truite.
Laurent MADELON
Le montage
La nature de l’appât, son poids et son volume influent sur le montage. Le ver bien que porté par le courant est lourd, il faut en tenir compte en sous-plombant légèrement le montage. En revanche, un lest plus important s’impose avec les larves légères (patraque, porte-bois, etc.) afin de les maintenir à proximité du fond.
Quelle sera l’esche du jour ? Devant la difficulté à la déterminer à priori, il est toujours bon d’avoir sous la main plusieurs appâts. Par eaux teintées ou troubles le ver de terre est souvent roi, la teigne, la patraque ou le porte-bois sont plus efficaces par eaux claires et basses.
L’esche est fixée généralement par la queue, de manière à la blesser le moins possible, la tête demeure libre, l’appât demeure ainsi vivant et remuant. Une esche morte, pendant comme une loque, est toujours moins attractive.
L’esche est régulièrement contrôlée, ce qui permet de vérifier son état et éventuellement de confirmer une attaque. N’hésitez jamais à changer un appât en piètre état ou si vous croyez à la présence d’un poisson sur un poste.
Les appâts
La truite opportuniste consomme de nombreuses larves et insectes aquatiques ou terrestres, ce qui accroît le nombre d’appâts possibles. Elles sont rentables, surtout à partir du milieu de printemps et dans toutes les conditions d’eau.
Laurent MADELON
Laurent MADELON
Les larves de hanneton (ver blanc), de noctuelle (ver gris), le turc ou tipule (moustique connu sous le nom de cousin), et bien d’autres bestioles encore se montrent efficaces. Qui n’a pas pris une truite qui semblait impossible avec une limace, une chenille ou un insecte quelconque ?
Eschage des larves : le fait de les piquer par la queue les conserve plus longtemps vivantes.